L’INSPQ s’appuie sur une analyse d’articles scientifiques publiés dans des revues à comité de lecture et sur des rapports d’expertise d’organismes de santé nationaux et internationaux reconnus.
Dans les faits saillants de cette évaluation, elle rappelle que « Les effets potentiels des radiofréquences ont fait l’objet de nombreuses études sur des cellules et sur des animaux de même que chez l’humain. Même si les limites de la recherche actuelle ne permettent pas d’exclure toute possibilité de risque, aucun effet néfaste sur la santé à court ou à long terme n’a été démontré pour des expositions aux radiofréquences respectant les limites établies ».
Concernant l’électro-hypersensibilité aux ondes, l’INSPQ souligne « Des personnes ressentent des symptômes qu’elles attribuent à l’exposition aux champs électromagnétiques, dont les radiofréquences. La réalité des symptômes rapportés n’est pas mise En doute. Ils sont nombreux, et leur gravité varie d’une personne à l’autre. Toutefois, des études de bonne qualité ont été menées et n’ont pas démontré une association entre l’exposition aux radiofréquences en dessous des limites établies et l’apparition de symptômes. » aussi « Il est recommandé de poursuivre la veille et les études scientifiques, de tenir informée la Population de ces travaux et de prévoir des mesures pour venir en aide aux personnes rapportant Des symptômes qu’elles attribuent aux radiofréquences. »